Août 14, 2024

Des jours plus brillants à venir

Bien que je sois généralement plus économe avec mes mots, cette année mérite plus de réflexion que la plupart des autres. La pandémie a atteint un point tel que nous en avons tous été touchés, plus près de chez nous qu’aucun d’entre nous ne le souhaiterait. Le but de ce texte n’est pas d’insister sur le négatif, les médias quotidiens le font assez, mais de réfléchir à ce que nous pouvons tirer de cette année pour améliorer notre avenir.

Pour commencer, il y a eu plusieurs événements de la dernière année qui méritent d’être salués. La recherche liée aux vaccins a fait des progrès extraordinaires pour faire face à cette pandémie. Dans les deux jours suivant l’obtention de la séquence génétique de la maladie, Moderna avait développé son vaccin. Bien que le processus de test prenne du temps, la rapidité avec laquelle ce vaccin a été développé est vraiment extraordinaire.

Bien que nous soyons maintenant tous fatigués de « Zoomer », nous devrions également célébrer les technologies qui nous ont permis de rester connectés, de travailler à domicile et de vivre cette pandémie avec une connectivité bien meilleure que jamais. Si cette pandémie avait frappé mais une décennie plus tôt, l’isolement social et l’impact sur l’économie auraient été bien pires.

Les reprises économiques et boursières ont été rapides et puissantes. Le Canada a déjà récupéré la plupart des emplois perdus en mars et avril, ne subissant qu’une baisse d’environ 3% du PIB pour l’année. La plupart des marchés boursiers ont dépassé leurs sommets précédents dans une reprise qui est allée beaucoup plus rapidement qu’on ne l’aurait prévu à la mi-mars, alors que les marchés boursiers plongeaient.

Les leçons que nous tirons d’une année comme 2020 sont tout sauf nouvelles. L’année dernière nous a rappelé que les principes fondamentaux éprouvés par le temps restent pertinents, quelle que soit la nature de la tourmente:

  • Les prévisions boursières sont un divertissement, et non des conseils: aucune des perspectives économiques et de marché publiées par les grandes banques et les maisons d’investissement ne prévoyait qu’une pandémie entraînerait l’arrêt de l’économie mondiale en 2020. Ce sont les informations que nous ne possédons pas aujourd’hui qui vont changer le cours des marchés boursiers demain.
  • Les marchés évoluent plus vite que vous ou moi: à mesure que l’ampleur dévastatrice de la pandémie se précisait, les marchés boursiers ont chuté très rapidement en réponse à chaque nouvelle information. Et tout aussi soudainement, les marchés boursiers se sont retournés et se sont mis à monter en flèche. Les trois jours suivant le creux du 23 mars ont vu une hausse de 17,5% de l’indice S & P 500 des actions américaines. Malheureusement, ceux qui sont sortis du marché durant la chute, sous prétexte d’attendre que les choses se calment, ont été rapidement laissés pour compte.
  • La politique et les marchés ne se mélangent pas: beaucoup craignaient à juste titre les soubresauts que les élections américaines pourraient provoquer dans les mois qui les ont précédés. Ces craintes étaient bien fondées; les événements du 6 janvier à Washington l’ont confirmé. Pourtant, les marchés boursiers ont continué de grimper face à ces craintes.
  • La diversification peut être frustrante, jusqu’à ce qu’elle sauve la mise: les obligations ne paient pas de taux d’intérêt très élevés, mais pour ceux qui tirent des revenus de leurs portefeuilles ou sur le point de le faire, elles signifiaient la différence entre la panique totale et maintien du cap.

Pour les portefeuilles, il y a un autre élément de la fin 2020 qui est encourageant. Au quatrième trimestre, nous avons finalement vu les actions de valeur et de petite capitalisation mieux performer que les actions de croissance et les marchés internationaux surperformer les États-Unis. Pendant de nombreuses années, nous avons vu les actions de croissance américaines à grande capitalisation (en particulier les titres technologiques) s’échapper en avant tandis que le reste du marché américain et du monde languissaient derrière. Comme je le disais, la diversification peut être frustrante, jusqu’à ce qu’elle porte ses fruits!

Vous avez remarqué que j’ai apporté plusieurs changements à l’équipe au cours de l’année. Sarah Boussâa a été embauchée comme réceptionniste du bureau de Montréal au début de l’année et son potentiel s’est rapidement manifesté. Nous lui avons demandé de faire partie de l’équipe Layton-Guay à temps plein dès septembre pour utiliser ses talents pour la prise en charge de nos clients. Sarah m’assite, planifie les réunions avec les clients et soutient Simona pour la paperasse alors que celle-ci a désormais plus de responsabilités.

Kevin Ligot a été initialement embauché comme remplaçant pour un congé de maternité dans notre groupe des opérations. Titulaire d’un MBA en finance, ses compétences étaient trop importantes pour le laisser filé à la fin de son mandat. Il a rejoint l’équipe à titre d’analyste de recherche et de portefeuille dans l’équipe, assistant Shweta dans l’analyse et le rééquilibrage de portefeuille.

Julia a récemment terminé son baccalauréat à l’Université du Québec à Montréal et a été promue analyste en gestion des avoirs en septembre.

Après avoir flirté avec ce chiffre pendant un certain temps, nous avons finalement franchi la barre des 500 M $ d’actifs sous gestion dans l’équipe. Cela arrive au moment où la firme a maintenant dépassé 6 milliards de dollars d’actifs sous gestion. Vous pouvez vous attendre à voir plus de nouveaux visages dans l’équipe dans l’année à venir. J’ai hâte de vous les présenter!

Comme toujours, si vous avez des questions, n’hésitez pas à me contacter ou à contacter l’équipe.

Meilleures salutations,

Peter

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